Allons-y, donc, voici le premier d’une série de 8 billet consacrés à Harry Potter au cinéma. Il va de soi que les films les plus récents ont été chroniqués ici et que je vais bien entendu produire des version 2.0 de certains billets. Non, je ne suis pas feignante à ce point là tout de même.
L’homme de la situation.
Tout enfant des années 80 digne de ce nom connait Chris Colombus. Ou s’il ne le connait nominalement, au moins peut-il associer le mot « Amblin » à quelques unes des œuvres qui auront marqué ou maculé pour certaines, sa jeunesse.
Fondée par Steven Spielberg en personne, cette société de production a servi entre autre à livrer nombre de films destinés à un public plutôt jeune genre les « Maman j’ai raté l’avion », « Goonies », « Retour vers le Futur », « Le Secret de la Pyramides » bref, vous voyez le genre.
Chris Colombus est issu de cette écurie, où il a débuté comme scénariste (il signe entre autre le scénario du « Secret de la Pyramide » que l’on peut assez facilement rapprocher de l’ambiance d’un « Harry Potter », comme quoi…) avant d’officier comme réalisateur de chefs d’œuvre comme « Maman j’ai râté l’avion » et suite, « Madame Doubtfire » ou « Ma meilleure ennemie ».
Et oui » chef d’œuvre », c’était du sarcasme.
Colombus est un honnête faiseur qui se contente d’emballer sans grande ambition artistique des films supposés drôles quand on a 6 ans mais qui passés l’âge adulte, font plutôt figure d’étrons indignes d’être présentés à des mômes : oui, vos parents vous détestaient et c’est en vous faisant regarder du Chris Colombus qu’ils vous le prouvaient chaque jour.
J’exagère un peu et je semble très mal commencer ce billet pour le réalisateur de « Harry Potter à l’Ecole des Sorciers », étrange titre français de « Harry Potter and the Sorcerers’s Stone ».
En fait, Colombus, malgré son incapacité à donner un souffle réel à ses films ou à produire autre chose que de l’illustration des romans, est l’un des seuls ayant travaillé sur cette franchise qui se soit rendu capable d’y insuffler un peu d’émerveillement.
Oui, ses deux « Harry Potter » sont un peu lisses et sans saveur, mais comparés aux derniers opus, ils ont au moins le mérite d’être un peu enchanteurs.
Chris Colombus n’est pas le seul à blâmer pour l’aspect très lisse de ses films puisqu’il a en la matière été secondé par le scénariste officiel de la saga, Steve Kloves, le responsable des calamiteux films qui débuteront avec « L’Ordre du Phoenix ».
Kloves se montrera sur la durée incapable de comprendre la nécessité d’adapter le récit à son nouveau support. Incroyablement illustratif sur les débuts de la franchise, il se heurte rapidement à la complexification des intrigues, des personnages et à la nécessité pour lui de commencer à placer ses billes pour le grand final. Perdant de vue l’essence même du récit (une quête initiatique) il se contentera de produire des scénarios plats, égrenant ce qu’il pense être des passages obligés sans s’intéresser une seconde au développement d’une histoire à l’échelle de 8 films.
Ce qui est d’autant plus dommage que c’est précisément de cette manière que JK Rowling a conçu ses 7 romans.
Pourtant, il y a dans « L’Ecole des Sorciers » la volonté manifeste de livrer un épisode d’exposition au ton volontiers enfantin, Chris Colombus n’étant pas totalement à côté de la plaque, bien au contraire.
Le point qui s’impose.
Au cas improbable où vous auriez vécu ces 12 dernières années dans une grotte en compagnie d’un colonie de marmottes tueuses, le phénomène « Harry Potter », désormais présent en cours à Science Po Paris, n’a pas pu vous échapper.
« Harry Potter » c’est une série de 7 romans écrits par JK Rowling, une très gentille dame blonde d’obédience britannique. Ces romans relatent sur 7 ans la vie de Harry, un orphelin maltraité par son oncle et sa tante, découvrant qu’il est en réalité un sorcier. En intégrant ce monde fabuleux, il va découvrir que ses parents ont été assassinés par un sorcier maléfique, lord Voldemort, à l’attaque duquel il est le seul être à avoir survécu. Depuis 11 ans, Voldemort a disparu mais il se murmure qu’il attend dans l’ombre l’instant propice à son grand retour.
Ainsi, tous les ans, en plus de ses examens, Harry doit stopper les tentatives de son pire ennemi pour revenir d’entre les morts et fonder le 4e Reich de la magie.
Roman d’apprentissage, quête initiatique, « Harry Potter » s’est imposé au début des années 2000 comme une œuvre de référence de la littérature jeunesse, allant jusqu’à très largement dépasser ce label toujours forcément réducteur ou synonyme pour les adultes d’écrits mièvres farcis de bullshit.
A noter qu’on a exactement le même phénomène concernant « Twilight ». Mais autant j’explique parfaitement le succès de « Harry Potter » par ses évidentes qualités, autant « Twilight » reste un mystère absolu pour moi, mais on y reviendra plus tard.
En une dizaine d’année, « Harry Potter » est devenu une référence de la pop culture tant grâce aux livres qu’aux films adaptés. Best seller absolu, blockbusters systématiquement gagnants, la franchise semble ne rien craindre, même pas le passage du temps. Je ne vais pas m’appesantir sur la pérennité de cette saga littéraire (éternitay…) ni sur sa richesse thématique, l’intelligence des développements d’intrigues ou l’implacable mécanique qui sou tend l’ensemble, on est là pour causer cinéma, et le moins que l’on puisse dire c’est que les adaptations ne sont pas à la hauteur du support d’origine.
Le fan service : l’alpha et l’omega de l’adaptation pour tapette.
Il y a plusieurs manières d’adapter un best seller : soit on prend des risques et on se lance à corps perdu dans l’élaboration d’une œuvre personnelle qui va immanquablement dénaturer le support d’origine pour en extraire l’essentiel, soit on se contente de décalquer le bouquin histoire de rester dans les clous et de ne pas se prendre une volée de bois vert de la part des lecteurs attentifs à la moindre petite différence.
L’immense majorité des réalisateurs et scénaristes choisissent l’option A. En particulier quand le livre adapté est un best seller. Le but est alors de satisfaire les fans en leur présentant la version en images qui bougent de l’œuvre qu’ils aiment.
On va par exemple citer l’exemple récent de « Hunger Games », qui n’est qu’un décalque très laid d’un livre bancal (mais là n’est pas le propos).
Ou « Millenium » de Niels Arden Oplev, qui se contente de reprendre scrupuleusement l’intrigue de Stieg Larsson.
L’autre technique consiste à lancer un gros fuck au visage du livre que l’on adapte et à en faire quelque chose qui ne ressemble plus à rien d’autre qu’à un film de son réalisateur. Et là, je crois que je n’ai qu’un exemple particulièrement éloquent à vous donner, « Dune » de David Lynch, un film de malade mental qui colle une droite au livre de Franck Herbert. Si vous ne l’avez pas encore vu, déjà, c’est moi qui vous colle une droite. Ensuite, tentez l’expérience : le livre d’abord, le film ensuite. Je vous préviens, c’est violent. Extrêmement intéressant mais violent.
Et puis on a ceux qui parviennent à un subtil numéro qu’équilibriste, entre respect du support originel, expression du fond et commentaire personnel. Là aussi, un exemple éloquent : la trilogie du « Seigneur des Anneaux » de Peter Jacskon.
Et « Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban », d’Alfonso Cuaron.
Mais là n’est pas encore le sujet. On est ici pour parler de « L’Ecole des Sorciers » qui entre totalement dans la première catégorie des adaptations illustratives.
Prise de risque zéro, ce qui correspond parfaitement au style de Colombus.
Le but pour Warner, avec ce premier film réalisé par un tâcheron rôdé aux films jeunesse était de ne surtout pas choquer les fans des livres tout en espérant toucher des non-lecteurs. Il convenait donc de produire une illustration de l’univers la plus alléchante et inoffensive possible. C’est de la même manière que JK Rowling avait conçu ce premier roman, simple introduction à son univers.
Le premier livre et le premier film font donc la part belle aux éléments de base de la saga : rituel de la rentrée, voie 9 3/4, banquets rythmant l’année, cours présentant les professeurs, chouettes délivrant le courrier, Quidditch…
Lecteurs et spectateurs découvrent, s’étonnent, et apprivoisent le monde des sorciers. Il sera bien temps plus tard pour introduire doucement (dès le deuxième tome en fait) un peu de noirceur et de danger malsain dans tout cela.
Sauf que contrairement à JK Rowling qui partait du principe que son lectorat grandissait en même temps que Harry et adaptait donc en fonction son écriture et son récit, les films eux ont continué de considérer leur public comme largement composé de mômes de moins de 12 ans. Pourtant, il suffisait de regarder autour de soi dans la salle de ciné pour constater que l’on ne pouvait être plus loin de la réalité (« Harry Potter » draine en gros le même genre de public qu’un film Pixar : il y a plus d’adultes que de jeunes ou d’enfants dans la salle).
Malheureusement, la Warner n’en démordra jamais et c’est cette volonté d’aseptiser les films au maximum qui fera de la franchise le naufrage artistique qu’elle est.
Bon et le film alors ?
Minute, j’y viens !
Alors concrètement, j’aime plutôt bien les deux premiers films. Même si pour moi le meilleur restera toujours le troisième, ceux de Colombus, et particulièrement le premier, ont des qualités certaines.
Comme je l’ai dit plus haut, la représentation de la magie est une notion que le réalisateur ne prend pas à la légère. Les sorts, leurs effets visuels, leur omniprésence dans cet univers et leur mise au premier plan plonge d’entrée de jeu dans l’univers décalé et fascinant imaginé par JK Rowling.
Il oppose, un peu à la truelle, mais Rowling elle-même n’était guère subtile en la matière, les tons froids de Privet Drive, percluse dans un train-train quotidien d’un platitude affligeante, aux tons chauds rompus d’atmosphères glacées de Poudlard. Le monde des sorciers par le jeu des lumières est dépeint comme un univers de contrastes violents, qui traduit assez bien les ambiguïtés même de la magie, présentées peu à peu à Harry, à mesure qu’il découvre ce monde et son histoire.
Dans sa manière de mettre en scène Poudlard et la sorcellerie, Chris Colombus ne se montre jamais avare question panoramiques ou plans larges. Il n’hésite pas à poser de longs plans contemplatifs comme celui très beau de Poudlard apparaissant pendant la traversée du lac par les premières années, le survol du stade de Quidditch, ou le plan sur les escaliers en train de se déplacer.
Le côté « film d’exposition » n’est pas forcément un mal puisque l’énergie que déploie Colombus à en mettre plein les yeux donne à « L’Ecole des Sorciers » un côté parc d’attraction pas franchement déplaisant. D’un strict point de vue de la narration ou du cinéma, c’est une tare qui plombe le rythme du film (il faut reconnaitre que c’est tout de même assez long et chiant, tout ça) et nuit à tout développement d’un éventuel commentaire de l’œuvre adaptée.
Mais il faut reconnaitre aussi à ce « Harry Potter à l’Ecole des Sorciers » un charme convaincant, malgré ses défauts.
Le plus gros de tous restant la déplorable direction d’acteurs de Chris Colombus. Je sais qu’il est très difficile de diriger des enfants, surtout wattmille enfants comme dans le cas présent, mais tout de même, qui donnait à Emma Watson ces directives de jeu horripilantes ???
Je ne me rendais plus compte à quel point elle était de très loin la plus mauvaise des trois, talonnée de près par Rupert Grint.
Le rôle d’Hermione est certes celui de la première de la classe miss je sais tout jamais avare de bons conseils pour ses camarades, mais était-il nécessaire de la faire se comporter comme un psychopathe ?
Un bon exemple d’écriture à la ramasse mâtinée de « j’ai rien pané au personnage d’Hermione » : lorsque les premières années entre dans la grande salle, on les conduit vers le Choixpeau. Dans la scène précédente, Mc Gonagall leur a fait un topo sur ce rituel, qui ne devrait donc étonner personne. Hermione traverse le hall en expliquant à sa voisine qu’elle a tout lu sur Poudlard dans « L’Histoire de Poudlard ». Puis, Mc Gonagall explique aux élèves que le Choixpeau, ça y est, c’est maintenant et qu’elle va appeler les élèves un par un. Quand elle appelle Hermione, celle-ci se met alors à agir comme si elle était surprise d’entendre son nom et d’avoir à monter sur l’estrade.
Euh, what ???
J’ignore si la faire agir comme une grosse demeurée incapable de se concentrer plus de deux secondes (un Jedi me souffle à l’oreille que cette description convient à merveille à 95% des collégiens) était uniquement destiné à placer dans la bouche de Ron un « elle est complètement cinglée« , chose que par ailleurs, Hermione n’est pas du tout. Au contraire. C’est plutôt le genre de fille un rien maniaque du contrôle, posée et réfléchie. Hein, soit dit en passant. Faudrait voir à pas confondre avec Luna Lovegood non plus.
Autre grand moment d’écriture en mousse du film, mais alors là, j’en ai eu un fou rire tellement c’était énorme : le matin de son premier match de Quidditch, Harry se voit offrir un Nimbus 2000 de la part d’un mystérieux bienfaiteur. C’est Hedwige qui lui livre le colis sous la forme d’un balai emballé dans du papier.
La chouette balance le tout dans la gueule de Harry qui s’empresse de chercher une quelconque note pour découvrir qui lui envoie du courrier lui qui n’en reçoit jamais. Puis, de guerre lasse, il déballe son cadeau et s’exclame : « HOLY FUCKING SHIT C’EST UN BALAI !!!!!«
De deux choses l’une : soit Harry porte des lunettes car il souffre d’un grave handicap visuel appelé cécité totale, soit le script a été écrit par Captain Obvious.
Et là encore pourquoi ? Pour placer dans la bouche de Ron une réplique qui n’avait pas besoin d’être amorcée par le Master of the Obvious de Harry :
« –C’est un balai !!!!!
–Non, ce n’est pas un simple balai, c’est une base sidérale un Nimbus 2000 !!!«
Alors qu’il suffisait de le faire déballer le truc et de faire dire à Ron : « HOLY FRAKKING FRAK !!!! UN NIMBUS 2000 !!! » et hop, ils avaient subitement tous l’air moins cons.
Mais je me plaignais de la direction d’acteurs tout à l’heure alors autant y revenir un instant pour évoquer le cas des Dursleys. Spécialement celui de l’oncle Vernon. Rarement ai-je vu un acteur atteindre ce niveau de surjeu. A chaque fois que je le vois faire sa moue au son des lettres entrant par la cheminée, me prend l’envie de lui écraser sa porcelaine sur le visage. Autant la tante Petunia sait garder une certaine mesure, ce pauvre Dudley est-il joué par un acteur incapable de sortir la moindre réplique de manière naturelle. Une sacrée doublette père/fils extrêmement mal dirigés que l’on est pressé de quitter non pas parce qu’on déteste leurs personnages mais parce qu’ils sont incroyablement mauvais.
Là encore, dans les livres, JK Rowling ne ménageait pas les visions bigger than Dickens dès qu’il s’agissait de causer des Dursleys. Mais était-ce pour autant la peine de les rendre à ce point ridicule ?
Cet échec est en fait consécutif à la fois des piètres qualités de directeur d’acteur de Chris Colombus et du scénario de Steve Kloves. Ce dernier, parce qu’il se veut illustratif, ne s’autorise pas à réécrire la vie de Harry avant Poudlard et se heurte à un problème majeur : représenter à l’écran ce qui ne passe vraiment bien qu’à l’écrit. Plutôt que de tenter une approche plus cruelle et plus insidieuse de la relation des Dursleys à Harry, Kloves s’engage dans un genre de comédie trop outré pour fonctionner réellement. J’imagine qu’un tout jeune enfant aura besoin de cette description à la truelle pour comprendre que le héros est maltraité par d’odieux personnages, mais quelque chose de plus subtil aurait tout aussi bien fonctionné. Et une fois encore, conserver la cruauté exagérée des Dursleys aurait d’autant mieux fonctionné si elle avait été servie par des jeux d’acteurs moins grotesques.
Dans le genre grotesque, j’avais presque oublié la scène où Harry et Drago découvrent Voldemort en train de sucer une licorne dans la forêt (ce n’est pas sale). Non seulement, ça pue la scène tournée en studio à 3 kilomètres, genre de petits trucs qui vont bien dans un film de la Hammer mais qui là tachent un peu, mais la mise en scène est-elle du dernier ridicule avec ce manteau sur un cintre qui se précipite sur Harry dans un mouvement tellement élégant qu’on voit presque le fil qui le soutient…
La scène fait tellement amateur qu’elle en vient à ne plus fonctionner du tout : ni effrayante, ni bien rythmée, ni correctement mise en scène, c’est presque le moment le plus involontairement drôle du film, immédiatement après la scène du Nimbus 2000.
Pourtant, dans son final, mou de genou tout de même, Colombus parvient à restituer la parcelle d’horreur que l’on trouvait dans le livre, avec la vision cauchemardesque de Voldemort dans le crâne de Quirrell.
Un final qui comme le reste, souffre, malgré la transcription de la scène du livre, de ce même défaut qui plombe le film de Colombus, à savoir son côté trop lisse. Quand je parlais plus haut de parc d’attraction, je ne disais pas cela uniquement à cause de l’enchainement des passages obligés mais aussi parce que l’esthétique globale du film reste un rien glacée, trop propre sur elle, sans chercher vraiment à se donner un ton. Poudlard ressemble moins à un vieux château hanté et plein de recoins chelous qu’au château de la princesse à Eurodisney. Je suis sans doute un peu rude parce que bon, esthétiquement, il n’y a rien à voir, mais tout de même, ce Poudlard est trop propre, trop lisse, trop aseptisé pour être honnête.
Si ce premier volet de « Harry Potter », comme le deuxième d’ailleurs, fait parc d’attraction, c’est précisément pour cela. Rien ne vit, tout est décor. On sent d’un bout à l’autre d’artificialité de la chose. Et une fois encore, ce qui sauve le film de l’effet carton c’est le côté initiation à un nouvel univers ainsi que l’enchaînement des séquences introduisant les spécificités du monde des sorciers.
Heureusement que Colombus a su maintenir ce ton enchanté et naïf qui donne au film son atmosphère récréative, sans quoi « Harry Potter » sur grand écran aurait bien mal débuté sa carrière.
Ceci étant dit, ce premier volet fut un succès, globalement considéré comme le meilleur ou l’un des meilleurs volets de la saga. Que l’on ne s’y trompe tout de même pas, il ne peut être considéré comme tel que si l’on s’attache à un respect scrupuleux du roman. Illustrations classieuse mais sans inspiration « Harry Potter à l’Ecole des Sorciers » est une entrée en matière efficace, divertissante, qui sur l’ensemble de la saga s’avère en effet être l’un des films les plus réussis des 8.
Note :
Ouhlala ! Quelle note vais-je bien pouvoir donner ? Et bien au lieu de mes étoiles moisies habituelles, je vais noter ce film en fonction de la place qu’il occupe dans mon cœur sur les 8.
Exemple pour ceux qui ont déjà mal à la tête : 1/8 => meilleur film de la série. 3/8 troisième meilleur film blabla…
Et donc…
Classement : 4/8.